Julien Gracq
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Il y avait un paradis terrestre, mais non pas taillé dans l’étoffe molle de la rêverie, non pas viande creuse de symbole, mais au contraire avec ses feuilles vertes de vrais arbres, le délice rafraîchissant de ses vraies eaux et logé, comme au creux d’une aisselle, à la flexion d’une aine, dans un repli ineffable du monde vierge.
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Un beau ténébreux